UN ÉCLAIRAGE SUR L’ASPECT MÉTAPHYSIQUE A L’ORIGINE DES PROBLÉMATIQUES DE PEAU.
L’état et le bien être de notre peau dépend de plusieurs facteurs:
– Cosmétique (soin utilisé, qualité, nettoyage, etc…)
– Alimentaire
– Génétique (un peu moins de possibilité d’action la dessus bien que de plus en plus d’études montrent l’action, par ex, de la méditation sur la régulation des gènes)
– Emotionnel
Une problématique de peau va pouvoir tirer sa cause dans l’un, ou plusieurs de ces facteurs, isolément ou combinés parfois. Il est donc important de regarder sur ces différents niveaux.
J’ai découvert le lien entre les émotions et la santé dans mes recherches personnelles et cela s’est avéré très enrichissant et révélateur !
C’est dans le livre best seller de Jacques Martel, « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » , vendu a plus de 2 millions d’exemplaires, que j’ai trouvé le plus d’informations et que je souhaite vous partager au cas ou cela puisse vous éclairer dans vos interrogations sur la santé de votre peau. C’est un livre de référence sur l’aspect métaphysique et l’origine des malaises et maladies en rapport avec les pensées, les sentiments et les émotions.
Et comme j’aime à le dire, vous prenez ce qui résonne pour vous , chaque personne a sa propre histoire avec les nuances qu’elle comporte.
VOICI L’EXTRAIT SUR LES MAUX DE PEAU
« La peau est comme l’écorce d’un arbre. Elle nous montre qu’il y a des problèmes extérieurs ou intérieurs. Elle isole les cellules de mon corps, mes composantes face à mon environnement extérieur.
Si ma peau a des anomalies, il y a de fortes chances que je sois une personne qui donne beaucoup d’importance à l’opinion des autres et à ce qu’ils peuvent dire à mon sujet. Étant peu sûr de moi, ayant peur d’être rejetée ou de me faire blesser, je vais me créer une maladie de peau qui deviendra une barrière naturelle et me permettra de garder une certaine distance avec mon entourage.
Je veux tellement adhérer à un groupe à ma famille à mes collègues de travail etc… mais ayant peu d’estime de moi, je crée une distance avant qu’on me rejette.
Je souffre de l’absence de contacts avec ma mère et je peux vouloir mettre la faute sur mon père. La peau est un tissu qui est lié à l’énergie mentale, elle exprime mes insécurités, mes incertitudes et mes soucis profonds.
Il est important de voir quelle couche de la peau est atteinte, particulièrement dans le cas de brûlure. Une atteinte de l’épiderme fait référence à une situation où il y a eu une séparation difficile ; le derme réfère plutôt à un événement que j’ai perçu comme sale, malpropre. Enfin lorsque l’hypoderme est atteint, donc plus près des os, il y aura diminution de mon estime de moi et dévalorisation. La peau reflète donc constamment mes sentiments intérieurs, d’où l’expression « être rouge de colère ». Ma peau peut changer de couleur lorsque je suis gêné ou lorsque j’éprouve de la honte. C’est donc la ligne de démarcation physique, mon masque entre mon intérieur et mon extérieur.
Si ma peau est sèche, c’est qu’elle manque d’eau. L’eau et le deuxième élément après l’air nécessaire à la vie. Les relations avec la vie sont donc sèches, arides. Je me bloque intérieurement dans mes relations avec mon entourage. Je peux avoir l’impression de sécher sur place. Je retiens tellement mes émotions, desquelles je veux me couper, au lieu de les laisser transparaître par ma peau, que cette dernière devient sèche, étant « en panne sèche » d’essence (liquide), émotive que sont mes émotions.
Je dois rechercher la joie dans ma communication avec autrui.
La peau moite exprime une émotion à fleur de peau.
La peau morte floconneuse (squame) indique que je me laisse aller à des vieux schémas mentaux.
Si je vis une situation stressante, j’ai tendance à aller dans tous les sens, à me disperser. Si des boutons marquent la surface de ma peau, c’est que j’exprime extérieurement des problèmes de relation, de communication avec mon entourage, concernant des points précis.
Si ma peau montre des signes d’inflammation, je me dois alors d’être moins irrité face à certaines situations de conflit intérieur ou extérieur.
Si ma peau est grasse c’est que je retiens et garde trop d’émotions pour moi. Dans ce cas il y a un trop plein d’émotions qui qui s’extériorise bien malgré moi. Je peux vouloir fuir une situation où une personne, comme si on essayait de m’attraper, comme le petit cochonnet huilé que l’on veut attraper et qui nous glisse entre les doigts. Je ne veux pas être touché… C’est donc une sorte de protection.
Une hyper sécrétion de sébum indique aussi mon attitude adolescente, immature quand il s’agit de mes émotions. Je suis très nerveux et je ne sais pas quoi faire. Je dois laisser circuler l’énergie afin que mes pensées négatives puissent disparaître.
Lorsque ma peau est affectée, il est important que je me demande si je vis une situation dans laquelle j’ai peur d’être séparé de quelqu’un ou de quelque chose que j’ai dans la peau et de me retrouver tout seul. C’est peut-être une séparation physique : par exemple, mon partenaire a une promotion et doit déménager. Ce peut-être aussi le fait que je me sente séparé d’une personne parce que la communication est inexistante ; je peux ainsi vivre dans la même maison que mon partenaire ou mes enfants mais je vis un grand vide, car il y a un grand fossé qui nous sépare et j’ai l’impression de vivre seul. Cette solitude est souvent dû au fait que je me renferme dans ma coquille, vivant une plus grande insécurité. J’aurais alors tendance à voir les situations d’une façon négative et à broyer du noir. J’ai l’impression qu’on m’a criblé de coup et qu’on a voulu me “passer au crible”. Cela peut aussi entraîner une perte de la sensibilité de la peau.
Les égratignures écorchures ou griffures montrent que je me sens déchiré, écorché vif en dedans. Je me laisse égratigner, je ne prends pas suffisamment ma place et j’aurais intérêt à me faire respecter. En faisant constamment des compromis, je me mets dans une position d’infériorité et je perçois la vie comme injuste. Lorsque ma peau est agressée, elle peut réagir en coupant la sensibilité pour se protéger. Si j’ai vécu par exemple des attouchements non désirés, ma peau peut vouloir « geler» cette région et ne plus avoir de sensations afin d’ éviter de se rappeler cette situation désagréable. Ma peau peut, au contraire, être hypersensible et la façon de me protéger et de me retirer ou de fuir certaines situations comme de ne pas aller au soleil ou devoir porter un chapeau.
C’est aussi le cas quand j’ai des taches de rousseur: je peux me sentir souvent taché, souillé. Ce peut-être aussi bien au niveau moral ou affectif que physique. Je peux aussi avoir l’impression que j’ai entachée par exemple l’image de ma famille et je vais me racheter si je ne fais pas de bruit ou si je me conforme aux attentes des autres.
Je dois regarder calmement, froidement, les frustrations que je nourris à fin que ma peau soit plus clair et moins épaisse.
Plus je deviens transparent et vrai avec les autres, plus ma peau va être transparente.
Une démangeaison me montre qu’il y a une ou des pensées irritantes qui monte à la surface de ma peau et que je me dois de les regarder en face pour qu’elle cesse d’attirer mon attention et de me déranger. S’il y a des changements de couleur de ma peau, je me demande jusqu’à quel point j’accepte ma sensibilité et mon intuition. Est-ce que je me vois comme « moche » ? La honte et la culpabilité m’empêchent de vivre avec spontanéité. Je m’oblige à m’engager dans des relations néfastes pour moi. Mon être intérieur crie à la liberté et à l’acceptation de tout mon être. Si j’ai des rougeurs, mon intégrité est touchée, je voudrais tellement passer inaperçu… On se moque de moi et je veux être tellement à la hauteur et qu’on m’aime.
J’accepte de commencer par apprécier mes qualités et par m’offrir des petites douceurs au lieu d’acheter des « petits pots », (peaux) avec des crèmes dite miracles : ma peau va transpirer ce bien-être par sa douceur et sa clarté. Plus je suis capable de communiquer librement mes émotions, plus ma peau va se détendre et resplendir. Je fais confiance et j’accepte l’amour des autres. Tout est une question d’attitude. Je choisis une meilleure qualité dans mes relations avec le monde extérieur. »
Extrait tiré du livre best seller de Jacques Martel, « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » aux éditions Quintessence.